L'appareil vu de devant. La tache sombre sur l'écran est due à l'appareil photo... L'écran est intact.

Sur la vitre protectrice, il manque le logo de la société... Disparu, mais les traces de colle attestent de sa présence passée!

Vue du châssis. Celui-ci est mixte, circuits imprimés et câblage «à l'ancienne» ! Quelques diodes à semiconducteurs, mais tout le reste est encore à lampes.

Les circuits imprimés furent conçus et réalisés par la société. C'était à cette époque-là une nouvelle technologie, qui fut intégrée dans les constructions ASIA.

Le châssis ouvert laisse voir quelques surchauffes locales (platine BF à gauche, notamment). A droite, la partie THT, avec son couvercle ajouré.

L'unité THT sans son couvercle. La PY88 est claquée (à pris l'air, elle est toute blanche) et un condensateur est complètement rôti !

Sous le châssis, les résistances chutrices. Cet appareil ne comporte pas de transformateur et utilise directement la tension secteur redressée. Il faut donc quelques résistances pour diminuer la tension de service aux différents circuits de l'appareil. Ceci provoquait un peu de chaleur supplémentaire!

Dans le fond de la caisse, on trouve le sélecteur de canaux. Celui-ci est un classique M.B.L.E.

Des «tirettes» entraînées par la commande permettaient la commutation de standard 819 ou 625 lignes. Une des deux a «sauté» et devra être remise en place...

Curiosité : dans le meuble, sur le côté droit, la commande de sélection des canaux est en dessous, alors qu'un emplacement prévu pour est situé sur le dessus du panneau... et il ne sert pas. Montage d'un châssis dans une caisse prévue pour un autre modèle?

Vue sur les gros condensateurs de l'alimentation, et sur les fusibles secteur. Condensateurs en court-circuit pour la plupart, et fusibles claqués... Habituel...

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