Vieux
appareils électroniques et sécurité électrique.
Le problème des anciens
appareils électroniques (radios, hi-fi vintage, téléviseurs...), qui
sont reliés au réseau
secteur, est que leur câblage interne ne correspond pas (plus) aux
normes de sécurité actuelles : mal réalisé au départ ou encore
endommagé par le temps ou l'usage...
On retrouve souvent quelques
défauts relativement faciles à éliminer.
Bien sûr, on doit ainsi renoncer à une petite part «d'authenticité»...
Mais bon! si vous collectionniez les voitures
des années 20, voudriez-vous encore vous en servir avec le système de
freinage en état original? Je ne pense pas.
Il faut bien admettre une adaptation minimale, où alors se résoudre à
conserver des appareils muets!
Cette page a été crée initialement pour donner des
conseils à propos des anciennes radios, mais cela s'applique aussi aux
anciens appareils hi-fi ou télévision... Remise à jour en septembre
2019
pour cette raison.
Il est possible d'agrandir
certaines photos pour voir les détails...
Le cordon secteur
et son entrée dans l'appareil :
L'une des premières choses à regarder quand on commence
les travaux sur un ancien appareil ! L'intégrité de ce câble, de son
entrée dans l'appareil et l'état de la fiche secteur doivent être
contrôlés convenablement avant toute intervention. Si il y a des
défauts visibles à ce niveau, ils doivent être corrigés directement,
avant tout le reste !
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Dans les très anciens appareils, le câble isolé avec de
la toile (et chaque conducteur au caoutchouc) est dans
la quasi-totalité des cas à remplacer ! Ici risque de contact direct
(si
on touche un des fils dont l'isolant est mauvais) ou indirect si un de
ces fils vient à toucher le châssis. Le câble devrait passer à travers
la tôle via un passe-fil isolant.
L'intégrité doit être vérifiée, et au besoin, ce passe- fil doit être
remplacé. Attention également
à ce que le câble ne puisse s'arracher hors du châssis...
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Une entrée du câble secteur plus moderne.
Les appareils
plus récents (à partir des années 70) utilisent un câble secteur à
double isolation, celui-ci entrant dans l'appareil par un serre-câble
faisant aussi passe-fil.
Il arrive que l'isolation externe du câble soit
abîmée à cet endroit et il faut donc remettre cela en état ! Le plus
simple est d'enlever le serre-câble et raccourcir le câble, et bien sur
le reconnecter convenablement à l'intérieur de l'appareil !
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Arrivée secteur sur
connecteur:
Certains appareils, déjà à partir des années 30, ont un
connecteur sur l'appareil plutôt qu'une entrée directe du câble sur le
châssis. Il faut également vérifier l'intégrité de ce connecteur...
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Sur une radio Philips de 1934, le secteur arrive sur un
petit connecteur à
deux pôles en bakélite. Il est probable que le câble ancien (toile et
caoutchouc) soit à changer, mais le connecteur peut être conservé s'il
est toujours intact. C'est un
bon système de connexion, d'autant plus que ce connecteur est solidaire
du panneau de fond. C'était déjà prévu avec une idée de sécurité : si
on ôte le panneau de fond, l'appareil n'est plus alimenté.
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Ici
un appareil des années 80, avec connecteur plus
moderne, sans prise de terre. Selon le type d'appareil, il pourrait y
avoir un connecteur à 3 broches, avec la connexion de terre.
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Protection du
transformateur:
Le
transformateur d'alimentation de tout appareil
doit être protégé
contre les surcharges et les court-circuits.Le calibre du fusible
dépend bien sûr de la puissance du transformateur,
pas toujours facile à évaluer. Sur les appareils récents, le calibre de
la protection est quasiment toujours indiqué près du porte-fusible
(comme sur la photo ci-dessus).
Mais dans les anciens
appareils, il ne l'est pas toujours et souvent les fusibles sont
sur-calibrés !
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Pour les anciennes radios, on pourra évaluer la
puissance du
transfo en fonction du nombre de lampes présentes...
Un 4-5 lampes consomme rarement plus de 50-70 Watts. Cela fera un
fusible
de 250 ou 315mA, pour une tension d'alimentation de 230V.
Un récepteur plus conséquent aura un transfo plus gros, placer un
500 ou 630mA. Ces fusibles seront à action retardée (type T).
Voir aussi la page "sécurité"
à
propos des fusibles !
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Le câblage interne:
Le câblage interne de l'appareil à réparer doit être
contrôlé scrupuleusement. Vérifier l'isolation des conducteurs
véhiculant
les tensions élevées : secteur (en premier lieu) et haute tension dans
les appareils à lampes. La moindre dégradation d'un isolant doit
absolument être réparée. L'interrupteur général doit
aussi être vérifié : il ne doit pas avoir de faux contacts et être
intact mécaniquement.
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Dans la radio ci-contre, le câble secteur a été remplacé
et les connexions refaites avec une bonne isolation, plus connexion du
châssis à la terre. Attention, certaines radios étaient équipées d'un auto-transformateur
:
les enroulements primaire et secondaires sont confondus, et il y a
passage entre le secteur et les secondaires! Ces radios sont aussi
dangereuses que les modèles «tous-courants», voir plus bas dans cette
page!
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Dans cet ampli des années 30, on retrouve la
dégradation typique des anciens isolants de conducteurs électriques.
Certains, en caoutchouc, sont pourris et se désagrègent. D'autres
sont devenus cassants (isolant en toile vernie) et enfin
certains sont totalement déssèchés.
De plus, un appareil trouvé en cet état
nécessitera un sérieux contrôle d'isolation, afin d'être certain que le
transformateur soit toujours bon ! On voit des traces de brûlé
autour... En fait, lors de la restauration de cet appareil il s'est
avéré que ce transformateur a été remplacé dans le passé ! Les traces
de brûlé sont de
celui d'origine, qui a du sérieusement chauffer avant de claquer !
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On peut contrôler à l'aide d'un ohmmètre l'absence
de contact direct entre le châssis et les conducteurs, cepandant, un
vrai test d'isolation ne peut se faire qu'à l'aide d'un testeur
spécifique générant une tension de test élevée.
L'isolation entre les conducteurs secteur et le châssis
doit «tenir» une tension
de test de 500 Volts. Ceci ne concerne évidemment pas les radios
«tous-courants» (ou alimentées par un auto-transformateur); voir
ci-plus bas...
Il ne peut y avoir aucun passage entre le
châssis et les conducteurs secteur ! Votre sécurité en dépend !
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Un de ces testeurs
d'isolation sur la photo ci-contre. Construction maison...
Vous trouverez la description de la réalisation
de ce testeur (avec schéma) sur ce site, ici...
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La prise de terre:
Certains appareils nécessitent que leurs parties
métalliques soient raccordées à la prise de terre. C'est le cas des
anciennes radios (excepté les tout-courants et les autotransformateurs,
voir ci-dessous).
Dans le cas des appareil hi-fi récents, malgré leur
coffrets métalliques, ils sont souvent de classe II, donc à double
isolation et sans mise à la terre.
Il est très rare que les téléviseurs anciens soient
connectés à la terre, surtout avec les châssis "chauds", voir ci
dessous. Toutefois les écrans plats modernes sont parfois munis d'une
fiche avec connexion de terre, cela dépend de la conception de
l'alimentation.
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Les anciennes radios nécessitent une mise à la
terre. A cet effet, on trouve une douille de connexion à l'arrière du
châssis. Toutefois, il est souvent intéressant de réaliser cette
connexion via le (nouveau) câble secteur. Personnellement, j'utilise du
câble à 3 conducteurs et une fiche 2 pôles + broche de terre. On
veillera à réaliser une bonne jonction entre le conducteur vert/jaune
du câble et le châssis métallique.
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Autre cas : cet amplificateur A.D. Audio, à transistors,
est
muni d'un châssis métallique. Cependant, cet appareil ne peut pas être
considéré comme un "double isolation".
Il existe bien une douille "earth", connectée au
châssis, mais le cordon secteur ne comporte pas de conducteur de terre.
En cas de défectuosité du câblage interne, l'utilisateur pourrait
recevoir un choc électrique ! Voir le câblage interne ci-dessous.
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Le câblage interne côté "secteur" de cet ampli ne
peut en aucun
cas être
qualifié de double isolation...
C'est
un cas assez fréquent avec des appareils des années 60 : ils doivent
être assimilés à des classe 1 (donc avec mise à la terre) mais n'ont
pas la connexion prévue pour !
Cet appareil a été remis en ordre sur ce point
lors de sa restauration.
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Et un autre cas : cet appareil japonais date de la
première moitié
des années 80, et le symbole de la double isolation (un grand carré
contenant un autre plus petit) est mentionné sur le coffret.
Pourtant ce n'est pas tout à fait vrai : les
connexions secteur ne sont pas isolées dans le boîtier, métallique. Bon
ici c'est fait proprement et avec des conducteurs eux-même à double
isolation. Tant que tout cela reste en ordre, pas de danger réel...
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Les condensateurs
"secteur" :
Il est fréquent de trouver des condensateurs entre
connexions secteur et châssis (surtout dans les appareils à lampes) et
aussi entre phases : ce sont des filtres secteurs. Parfois aussi il y a
des condensateurs en parallèle sur les interrupteurs secteurs, leur
rôle est d'éviter les bruits de commutation dans les haut-parleurs
(étincelle crée lors de la manoeuvre).
Toutefois, la plus grande prudence s'impose quand on
découvre de tels composants !
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Dans les
radios anciennes, ou équipements à lampes anciens, ils sont presque
toujours défectueux! Entre secteur et châssis, installer uniquement
des condensateurs des classe Y1 ou Y2 : ils ont une capacité limitée à
4.7nF, et sont concus de telle manière à ne pas se mettre en
court-circuit en cas de défectuosité interne. Ne jamais
utiliser ici des condensateurs ordinaires, ou encore des condensateurs
«secteur» type X ou X1/X2. Ces condensateurs sont concus pour être
utilisés entre phases uniquement !
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Parfois aussi, dans les anciennes radios, une phase secteur
est ramenée aux bornes
d'antenne via un condensateur. C'était prévu pour utiliser le réseau
secteur comme
antenne... Ne pas utiliser cette configuration (qui de toutes facons
fonctionne très mal!) et supprimer ce(s) condensateur(s)...
Le cas des radios «tous-courants»
Certaines radios anciennes ne disposaient pas d'un
transformateur
d'alimentation, et pouvaient être alimentées aussi bien en alternatif
qu'en
continu. Ces radios sont particulièrement dangereuses car une connexion
du secteur est directement raccordée
au châssis ! Danger d'électrocution ! Si vous tenez absolument à
utiliser
ces radios, alors faites-le uniquement avec un
transformateur d'isolation.
Le principe de fonctionnement de l'alimentation de ces
radios est de redresser et filtrer directement le secteur pour générer
la tension
continue, avec une valve mono-alternance. Si la tension secteur est
continue (cela existait dans le temps), il fallait trouver la bonne
polarité,
en inversant la fiche...(!)
Un exemple de schéma...
Sur
le schéma, les points noirs correspondent à des
connexions au
châssis! Comme on le voit, un des fils du secteur est directement
connecté au châssis par l'intermédiaire de l'interrupteur. Ici il est
fait utilisation d'une valve double
alternance. La seconde moitié sert à générer la tension d'exitation
pour le haut-parleur (BeKr).
Le repère «+ V» correspond au point positif de la haute-tension
continue d'alimentation.
Les filaments de chauffage des lampes sont connectés en série,
directement sur le secteur aussi. Si le poste est commuté pour
fonctionner
en 230V d'imposantes résistances chutrices sont placées en série dans
les lignes d'alimentation; et ces résistances chauffent !
Un autre système...
Sur certains postes, c'est le cordon-secteur qui servait
de résistance !
Ici, pour utiliser cette radio en 110V, on utilise un câble
ordinaire et on ponte une partie de la résistance. En 220V, il fallait
utiliser un câble résistant et ne pas placer le pontage
sur les résistances !
Pour l'utilisation d'un tel poste, il est préférable de
le laisser en 110V et de l'alimenter via un transfo de séparation de
circuits 230/110V. Ces appareils sont particulièrement
dangereux,
n'entreprendre le dépannage que si le principe de fonctionnement
de l'alimentation est parfaitement compris ! Il est plus que
souhaitable de disposer du schéma (ou d'en faire le relevé),
ainsi que de vérifier totalement ce câblage avant de tenter le remise
sous tension. La même prudence s'impose aussi dans le cas d'un appareil
avec auto-transformateur !
Les téléviseurs anciens :
Attention ici ! Ces appareils sont doublement
(voire triplement) dangereux. Explication ci-dessous...
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Ci-contre, un appareil couleurs de première
génération avec le "fameux" châssis KM1 : bi standard couleur (PAL et
SECAM) mais aussi plusieurs standards noir et blanc (y compris le 819
lignes français)... Commutation automatique des standards ! Un des
châssis les plus complexes jamais construit. Mixte lampes et
transistors.... Le cauchemar des dépanneurs de l'époque !
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Tout d'abord, on trouve la THT pour l'anode du tube
cathodique : de 15kV sur un petit téléviseur et jusque 35kV sur les
premiers tubes "couleur" ! Bien sur c'est de faible intensité.... mais
suffisante pour ressentir un de ces chocs, voire pire. Ne pas oublier
non plus que le tube se comporte comme un condensateur et qu'il peut
resté "chargé" un bon moment après coupure de l'appareil ! Sans parler
des très anciens téléviseurs (avant 1950 environ) qui avaient un
condensateur de lissage dans le circuit THT ! Danger !
Ensuite, le second souci est que beaucoup de
téléviseurs, jusque dans les années 70, ont eu un châssis dit "chaud"
(même ceux totalement à transistors) : c'est le même principe qu'une
radio tout courants (voir ci-dessus) ! Il y a eu des téléviseurs avec
transformateurs
dans les années 50-60 mais ce n'était pas fréquent. Le châssis est donc
relié directement au secteur,
ou par l'intermédiaire d'un redresseur ! Prudence ! La connexion
d'antenne était isolée par des condensateurs céramiques à fort
isolement.
Cela a disparu avec la généralisation des alimentations à
découpage et l'arrivée des prises SCART / Peritel, début des années 80.
Avec ces prises, on retrouvait la connexion de masse de l'appareil
disponible sur une des broches.., Ces prises pemettaient
de raccorder les signaux audio et vidéo
vers des magnétoscopes, amplis extérieurs, consoles de jeux... Il
n'était évidemment plus pensable de trouver ici une quelconque
connexion au réseau électrique !
Et enfin, plus spécifiquement dans les premiers
appareils couleurs, on trouve une THT particulièrement élevée :
30-35kV. Et le redressement + stabilisation de cette tension sont ici
réalisés avec des lampes ! Ces lampes, à ce niveau de tension, peuvent
générer des rayons X. Sur la photo ci-dessus on peut voir, à droite,
une boîte métallique contenant ces deux lampes (redressement et
régulation). Cette boîte fait office de blindage contre ces
rayonnements, potentiellement ionisants (et donc ayant un impact
possible sur la santé). Cette boîte de blindage est munie ici d'un
interrupteur de sécurité, stoppant l'alimentation de l'appareil si
ouverte. L'intégrité de ce blindage, et du switch, doit être vérifié
lors du dépannage de tels engins !
Pour terminer, dans les vieux téléviseurs il y a un autre
danger d'un autre
ordre : le tube cathodique. Jusque dans les années 60 ces tubes
n'étaient pas protégés contre le risque d'implosion. Ces anciens
téléviseurs avaient presque toujours une vitre de protection devant le
tube... En effet, un tel tube ne contient que du vide, pas une trace
d'air. La pression atmosphérique excerce donc une forte contrainte sur
le verre du tube. Bien sur cela a été "dimensionné pour"... Mais lors
de manipulations ou de dépannages, faire fort attention à ne pas
brutaliser ces tubes, ou leur faire subir des chocs. L'implosion d'un
tel tube est particulièrement dangereuse, des morceaux de verre partent
dans tous les sens ! De même, avant de mettre un tel téléviseur en
déchetterie, il conviendrait de neutraliser le tube, généralement en
brisant la soudure du verre, au niveau des connexions électriques, la
par ou le vide a été réalisé. C'est une opération dangereuse malgré
tout, faire fort attention !!
Un autre danger :
Les dangers électriques semblent les plus évidents et
ont été présentés ci-dessus. Il en reste pourtant un, dans les vieux
appareils, et moins visible au premier abord : les matières
potentiellement toxiques !
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Ci-contre, un appareil Philips de la fin des années 40 :
un ampli de 60W type 2844. Cet appareil comporte deux dangers.
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Tout d'abord, et non le moindre : présence d'amiante
(asbeste) ! Ce matériau, excellent isolant thermique, a été très
utilisé partout jusque dans les années 80. Cet amplificateur en
comporte, et on le voit, appliqué sur deux tôles verticales. Ces
isolants ont pour but d'éviter la surchauffe des condensateurs (à
l'avant plan sur le châssis) et du transformateur d'alimentation (en
arrière-plan, derrière les lampes EL51) par la chaleur rayonnée par les
lampes. Les deux EL51 et la AX50 dégagent une belle quantité de
calories !
Ces isolants sont dangereux pour la santé, par inhalation des
poussières. Et c'est un souci dans d'anciennes électroniques de
puissance comme celle-ci, on en trouve... Toutes les précautions
d'usage sont à prendre lors de la manipulation de ces appareils,
surtout si les plaques d'amiante s'effritent !
Ensuite, le second danger ici est la présence d'une lampe de
redressement AX50 (visible juste devant les AX50, avec le culot brun).
Ces lampes sont des
doubles diodes fonctionnant sous vapeur de
mercure.
Leur grand avantage est d'avoir une faible chute de tension
entre anode et cathode, et de permettre le redressement de courants
importants. Elles ont été utilisée sur nombre d'amplificateurs (la AX50
et aussi son équivalente américaine la 83, et d'autres types). Tant
qu'elles sont intactes
(hermétiques), elles sont bien sur sans danger sur le plan du mercure.
Il faut
éviter de les briser ! Et en cas de bris, ne pas respirer les
vapeurs... Aérer... Et tenter de rassembler les débris (incluant les
petites billes de mercure condensé) pour les porter en traitement
spécialisé dans ce genre de déchets. Une telle lampe, usagée et non
fonctionnelle, ne doit pas être jetée à la poubelle mais être
apportée en déchetterie, avec les tubes luminescents et les lampes
fluocompactes.
Voir les informations de votre région concernant la gestion de
ce genre de déchets, tant pour l'amiante que pour les lampes à vapeur
de mercure !
Dernier point conçernant les AX50, 83... et autres lampes à
vapeur de mercure : une fois chaudes et traversées par un courant,
elles émettent une lueur bleutée du plus bel effet, mais... Attention
aux UV (ultraviolets) même si ici ils sont en faible quantité !
Lire aussi la page générale sur la sécurité électrique au
labo...
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